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Silicium Organique

Silicium Organique

Créée en 1999, la société LLR-G5 s’est rapidement implantée sur le marché du Silicium Organique avec sa gamme de suppléments Silicium Organique G5®. LLR-G5 investit systématiquement dans des activités de recherche et de développement de haut niveau pour ses produits. Sa collaboration avec plusieurs groupes de scientifiques internationaux lui a valu de faire progresser sa réputation mondiale et son expertise en ce qui concerne le Silicium Organique et de devenir le chef de file du marché des suppléments de silicium.

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Le silicium dans l’environnement

Le silicium est un élément du tableau périodique; il est situé sous le carbone et porte le numéro atomique 14. Le silicium est toujours présent avec de l’oxygène. Ensemble, ce sont les éléments de notre environnement les plus courants, formant plus de 50% des composants de la croûte terrestre.

Le silicium et la santé : il s’agit essentiellement de la santé du tissu conjonctif

Le silicium est l’un des éléments essentiels des matières vivantes et, après le fer et le zinc, c’est le troisième oligo-élément le plus abondant dans le corps humain. Le silicium se trouve dans toutes les cellules et dans tous les tissus, mais il est particulièrement abondant dans les tissus conjonctifs. Le tissu conjonctif est une composante vitale de la santé de chaque organe dans l’ensemble du corps.

Le tissu conjonctif forme une variété de structures physiques, notamment les articulations, le cartilage, les os, la peau (ongles et cheveux) et les vaisseaux sanguins, y compris le cœur. Par conséquent, les organes ont besoin de silicium pour restaurer ou préserver leur santé et leur équilibre. Malheureusement, en raison du processus de vieillissement, la concentration de silicium qui se trouve dans les organes diminue de manière apparemment irréversible.

Que fait réellement le silicium ?

Une carence en silicium affecte de manière négative les organes et les tissus qui renferment du collagène. On ne comprend pas encore comment ou pourquoi cela se produit, mais il semble que l’atome de silicium se situe à l’intérieur du collagène, jouant vraisemblablement un rôle de « colle » pour les fibres de collagène individuelles. L’ensemble de la structure du collagène, tout comme la célèbre molécule ADN, s’enroule comme un « ressort », conférant aux cellules et aux organes leur élasticité et leurs mouvements de glissement en toute souplesse. Le silicium est donc susceptible de jouer un rôle vital pour assurer la structure spongieuse du collagène et son mouvement souple et élastique. Le collagène donne de la force et de la flexibilité au tissu conjonctif qui, à son tour, apporte santé et bien-être à tous les organes du corps, en partant du cerveau pour atteindre la peau et les os.

Fibres de collagène, structure de collagène - entremêlées.


Quelles sont les preuves réelles qui démontrent que le silicium aide le corps humain?
Le silicium et la peau

Les scientifiques ont émis de nombreuses preuves convaincantes concernant le silicium et la santé au cours des 50 dernières années. L’une de ces études, présentée ci-après, a trait à la supplémentation en silicium et à la santé de la peau. Lassus a montré qu’une supplémentation en silicium pendant 90 jours de traitement entraînait une augmentation notable de l’épaisseur et de l’élasticité de la peau: c.-à-d. que la peau devenait plus élastique et paraissait plus jeune[1].

De plus tout comme le silicium diététique, le silicium organique se révèle être bénéfique pour la peau. Une étude effectuée en 2007 indique que l’élasticité de la peau, c.-à-d. «l a jeunesse de la peau », s’améliore également lors de l’utilisation de MMST par rapport à un placebo[2]. L’étude a consisté à examiner les avant-bras de sept volontaires en bonne santé, dont la peau présentait un photo-vieillissement modéré, qui ont reçu un supplément de silicium organique pendant 10 semaines. On a pu constater une augmentation de la densité de collagène et de fibres d’élastine dans la peau qui avait été traitée avec du silicium.

Le silicium et les os
Étude sur le silicium diététique

En 2004, le premier journal mondial de la recherche sur la santé et la maladie des os (JBMR) a publié un article de recherche provenant d’Harvard University, de Cambridge (Royaume-Uni) et de Londres (Royaume-Uni), qui examinait l’association entre l’apport de silicium diététique et la santé des os chez plusieurs milliers de personnes [3].

Chez les hommes et chez les femmes pré-ménopausées, une augmentation nette de la densité (et, par conséquent, de la santé) des os, en relation avec l’apport de silicium, était évidente. Pour les femmes post-ménopausées, il n’y avait pas d’effet similaire.

Données de Jugdaohsingh et al. (JBMR2004), indiquant comment l’augmentation du pourcentage de la partie minérale de l’os au niveau de la hanche (site du trochanter) varie en fonction de l’augmentation des unités de « 5mg de silicium diététique » par jour [3].

Le «blocage» apparent observé chez les femmes post-ménopausées avait été surmonté par une supplémentation en silicium organique dans le cadre de plusieurs études précédentes.

Il s’avère que la raison de ces différences soit due à la présence de l’hormone « œstrogène ». Ses très faibles taux chez les femmes post-ménopausées semblent bloquer les effets du silicium. L’étude a été effectuée en utilisant du silicium provenant de l’alimentation et, depuis, les chercheurs se posent la question de savoir si des taux de silicium plus élevés pourraient surmonter ce blocage. En fait, comme indiqué ultérieurement, les médecins avaient déjà montré que le Silicium Organique permettait effectivement de surmonter ce blocage et d’améliorer la densité minérale osseuse chez les femmes et les hommes plus âgés.

Silicium Organique «MMST»

En ce qui concerne le silicium diététique, la littérature scientifique fait état des puissants effets que produit l’utilisation de Silicium Organique, MMST, sur l’augmentation de la densité osseuse[4]. Cependant, l’élément important à prendre en compte est que ces effets ont également été observés chez les femmes post-ménopausées pour lesquelles le silicium diététique seul avait échoué. La première étude remonte à 1979 et indique que, chez 70% des sujets, l’apport de Silicium Organique par rapport à un placebo permettait d’augmenter le volume de leur os iliaque[4].

La deuxième étude a également indiqué une nette augmentation de la densité de l’os iliaque et des vertèbres[5].

Silicium Organique : comment le définir et pourquoi est-il spécial ?

Le Silicium Organique, également couramment appelé MMST, est la fraction active du « G5® ». MMST est l’abréviation de « monométhylsilanetriol ». En fait, la molécule ressemble énormément au silicium naturel, dérivé de l’alimentation (qui est l’« acide orthosilicique »), mais avec une différence certes minime, mais importante. Pour le Silicium Organique, un groupe hydroxyde (c.-à-d. oxygène plus hydrogène) a été remplacé par un groupe méthyle (c.-à-d. carbone plus trois hydrogènes). Une représentation chimique schématique de la molécule figure ci-dessous :

Le lien Carbone (C)-Silicium (Si) est un lien d’une énergie très, très élevée, et il confère également quelques caractéristiques particulières à la molécule. Cela peut être observé en regardant la « charge électrique » ou l’« énergie » qui entoure la molécule MMST.

Du côté droit de la molécule, le champ de l’énergie calculée est un mélange de rouge (charge négative), de vert (neutre) et de bleu (charge positive) : en d’autres termes, la molécule a une polarité variable qui fait qu’elle ressemble et qu’elle se comporte comme de l’eau. En revanche, du côté gauche de la molécule, la région est entièrement verte (neutre), ce qui signifie que, de ce côté, elle se comporte comme un lipide (une huile). Le résultat est que cette molécule se déplace dans l’eau et, également dans les lipides/l’huile, aspect important en ce qui concerne le corps, car chaque cellule se compose de deux éléments : d’eau et de membranes lipidiques autour et à l’intérieur de la cellule. Par conséquent, le MMST a la capacité de passer dans les cellules et de se déplacer dans tout l’organisme, pouvant ainsi agir en tant que système de libération de silicium vraiment efficace. Ce type de molécule porte le nom de «molécule amphiphile»*.

Cependant, dans son environnement naturel, la molécule est toujours entourée d’eau ; la molécule d’eau est adjacente à la molécule de MMST : elles forment ensemble un groupe et, par conséquent, une concentration et un pH corrects sont nécessaires pour réaliser le groupage des molécules d’eau. En médecine homéopathique, on suggère que la mémoire est véhiculée de cette manière dans le milieu.

*Amphiphile est un terme qui désigne la capacité d’une molécule à être soluble (dissoute) à la fois dans l’eau et dans l’huile. C’est une caractéristique inhabituelle qui permet aux molécules de se déplacer dans la circulation sanguine à base d’eau qui circule dans l’organisme, mais également à travers les membranes des cellules à base d’huile.

Silicium Organique : dans quelle mesure est-il bien assimilé par le corps humain?

Une étude comparative sur l’absorption du silicium, publiée dans le British Journal of Nutrition et effectuée auprès d’êtres humains volontaires au St. Thomas Hospital, à Londres, a confirmé le niveau très élevé de disponibilité biologique du Silicium Organique. Cette étude a utilisé le Silicium Organique G5®, fabriqué par LLR-G5, et a montré que l’absorption de Si était élevée (environ 60% chez l’ensemble des personnes et jusqu’à 70% chez certaines) - la variation pouvant peut-être être liée aux exigences de la personne.

L’absorption de Silicium Organique G5®, dans la circulation sanguine et comme indiqué précédemment, est considérablement plus élevée que celle d’autres suppléments de silicium connus[6]. En fait, selon les travaux de recherche effectués, le corps humain assimile le Silicium Organique G5® au moins quatre fois mieux que d’autres formes de suppléments connus. Par exemple, lorsque le Silicium Organique G5® est comparé à la silice colloïdale (choline stabilisée) et à la silice minérale, ces deux dernières sont, en comparaison, mal absorbées par l’organisme, car elles se composent de particules minérales dont la dégradation dans l’intestin est difficile. Seulement environ 2% de silice minérale sont assimilés et 15% de silice colloïdale sont assimilés. Rien ne prouve non plus que ces formes soient transportées vers l’intérieur des cellules, contrairement au Silicium Organique G5®.

Les travaux de recherche les plus récents provenant du même groupe indiquent que le Silicium Organique G5® est non seulement très facilement absorbé par l’organisme, mais qu’il est également métabolisé en silicium biologique («acide orthosilicique»).

Avant d’entreprendre ces travaux de recherche, le groupe a confirmé l’extrême pureté du Silicium Organique G5®[7]. Ces dernières découvertes ont été présentées à l’occasion du 11ème Symposium international sur les ions métalliques en biologie et en médecine, qui s’est tenu à Cambridge en 2011, et elles seront publiées dans leur intégralité dans la littérature scientifique.

Références:

  1. Lassus A (1993) Colloidal silicic acid for oral and topical treatment of aged skin, fragile hair and brittle nails infemales. Journal of International Medical Research21(4): 209-215.
  2. Herreros F, Cintra M , Adam R , Machado de Moraes A,Konradin Metze. Remodeling of the human dermis after application of salicylate silanol. Archives of Dermatological Research 2007; 299:141-45.
  3. Jugdaohsingh R, Tucker KL, Qiao N et al. (2004) Dietarysilicon intake is positively associated with bone mineraldensity in men and pre-menopausal women of theFramingham Offspring cohort. Journal of Bone andMineral Research 19: 297-307.
  4. S chiano A, Eisinger F, Detolle P, Laponche AM, Brisou B,Eisinger J. Silicium, tissu osseux et immunité. Revue duRhumatisme.1979; 46:483-486.
  5. Eisinger J, Clairet D. Effects of silicon, fluoride, etidronateand magnesium on bone mineral density: a retrospectivestudy. Magnesium Research 1993;6:247-249.
  6. S ripanyakorn S, Jugdaohsingh R, Dissayabutr W,Anderson SHC, Thompson RPH, Powell JJ. Thecomparative absorption of silicon from different foodsand food supplements. British Journal of Nutrition2009;102:825-834.
  7. Ravin Jugdaohsingh (UK). Assessment of the toxicologyand safety of chronic monomethyl silanetriol administrationin the rat. 11th International Symposium on Metal Ions inBiology and Medicine, Cambridge; 2011.

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